

A bientôt au Centre Georges Pompidou !
A bientôt au Centre Georges Pompidou !
Vendredi 11 Décembre à 20h, rendez-vous à la Cité de la Musique (métro : Porte de Pantin dans le 19 ème arrondissement) pour une rétrospective inédite sur la vie du jazzman Miles Davis…
The « King of Blues » est à l’honneur sur les 800m2 de l’espace de la Villette, « autant à voir qu’à entendre » voici l’objectif que s’est donné le conservateur ! Projection de concerts, système d’écoute « plug and play » et salons acoustiques ont été installés… Mais également des manuscrits, photos, costumes de scène, instruments et même des œuvres d’art ayant appartenu à l’artiste sont exposés !
Un artiste fascinant, un visionnaire, un trompettiste de génie, une légende, un acharné…C’est lui, c’est ce que l’on dit de lui aujourd’hui alors… So Cute So Culture vous propose de découvrir ensemble son parcours de Saint Louis, Illinois à Manhattan, son œuvre, ses rythmes, son influence dans le monde de la musique…
« Miles est un astre », explique le commissaire Vincent Bessières.
Tarifs : 8 euros plain tarifs, -50% pour les chômeurs, et -20 % à partir de 10 personnes !
Lieu : La Cité de la Musique, 221 avenue Jean Jaurès, 750019
Pour la suite de la soirée So Cute vous propose de tester l’un des plus funk resto du quartier : le Monkey’s (68 bd de la Vilette 75019) cusine internationale et burger végétarien à la carte … Ou préfèrerez-vous du tzatziki de concombre / yaourt / cumin ? On nous attendra vers 22h !
So Cute So Cool quoi !!!
« New York ne se révèle qu’à une certaine hauteur, à une certaine distance, à une certaine vitesse » (Jean-Paul Sartre, Situation III, 2)
New York en noir et blanc, c’est saisissant …Vues à couper le souffle, plans vertigineux… Michael Kenna est partout : sous le pont de Brookling, de Manhattan, on the top of the rock, dans Central Park… et surtout juste en face du Chrysler, dont il prend comme la « photo d’identité » avec en second plan une mer d’huile de buildings qui s’étend par delà le Queens…
Dans ses photos, Michael Kenna a voulu saisir le ciel de New York… Qui n’est jamais le même : clair ou strié de nuages, brillant de chaleur, gris de pluie ou bleu de froid, mais toujours ce même ciel qui ouvre grand ses bras à la ville… A toute l’Amérique, au monde entier comme le dit Jean-Paul Sartre.
« J’ai appris à aimer son ciel. Dans les villes d’Europe, où les toits sont bas, le ciel rampe au ras du sol et semble apprivoisé. Le ciel de New York est beau parce que les gratte-ciel le repoussent très loin au-dessus de nos têtes. Solitaire et pur comme une bête sauvage, il monte la garde et veille sur la cité. Et ce n’est pas seulement une protection locale : on sent qu’il s’étale au loin sur toute l’Amérique ; c’est le ciel du monde entier. »(Jean-Paul Sartre, Situation III, 2)
NY au matin, en été, en pleine nuit, sous la neige, Michael Kenna (sait) c’est tout ça !
Allez voir par vous mêmes :
http://www.photosapiens.com/New-York-New-York-Kenna-Michael_5063.html
http://www.galeriecameraobscura.fr/
http://www.michaelkenna.net/
En ce qui concerne l’organisation, So Cute So Culture remercie chacun : chaque ancien, chaque nouveau d’être venu : sans prévenir, tout seul, accompagné, ou pour retrouver des amis ! Nous sommes toujours plus nombreux, c’est formidable et grâce à vous !
Le dîner à la Belle Ronde s’est agréablement déroulé, entre galettes complètes, beurre sucre et cidre doux, nous étions 22 à table au plus fort de la soirée !
Enfin bravo aux courageux qui ont prolongé la soirée au café universel pour le concert d’Afro-jazz ! Because you are so so culture my friends !
« Spécial merci aux représentantes de l’Indiana Team & welcome to each brand-new converted »
Pour votre plus grand plaisir voici 10 dernières secondes de culture en rab :
« Il m’a fallu que je m’y habitue, mais, à présent que c’est chose faite, nulle part je ne me sens plus libre qu’au sein des foules new-yorkaises. Cette ville légère, éphémère, qui semble chaque matin, chaque soir, sous les rayons lumineux du soleil, la simple juxtaposition de parallélépipèdes rectangles, jamais n’opprime ni ne déprime. Ici, l’on peut connaître l’angoisse de la solitude, non celle de l’écrasement.» (Jean-Paul Sartre, Situation III, 2)